Les qualités exigées dans ce travail

Le métier de confiseur est un travail qui fait saliver plus d’un. Le confiseur se charge en fait de choisir des matières premières, de conditionner et de commercialiser les produits. Il a aussi pour objectif de confectionner les aliments dérivés du sucre comme les friandises. Il peut s’agir de bonbons, de chocolats, de pâtes de fruits, etc. Mais le sucre n’est pas seulement sa spécialité. Il émerveille nos papilles avec de la confiture, de la marmelade, du chocolat et des dragées. D’autre part, cet emploi ne se pratique pas uniquement dans les restaurants ou les boutiques de proximité. Il y a également des confiseurs dans les laboratoires industriels. Ce travail est en majeure partie associé avec le métier de pâtissier, de glacier ou de chocolatier. Mais vous pouvez l’exercer de manière indépendante. En outre, ce métier exige énormément de force physique. Il réclame de la résistance à la fatigue. Il faut donc posséder un moral d’acier.

Les études requises pour y parvenir

Les formations diplômantes sont un tremplin vers la profession de vos rêves. Les expériences acquises sur le terrain, dans un atelier de cuisine, ont d’ailleurs une valeur inestimable. Vous devez donc trouver un contrat d’apprentissage auprès d’un professionnel. C’est fortement conseillé aux personnes qui veulent travailler à leur compte plus tard. Une formation en confiserie est alors nécessaire pour devenir un chef de renom. Il faut également l’associer à des métiers artisanaux, pour le maîtriser dans la règle de l’art. Par ailleurs, le niveau baccalauréat professionnel ou CAP est effectué auprès des organismes publics et des établissements privés.
Vous pouvez choisir parmi les CAP : glacier-fabricant, mention complémentaire (MC), chocolatière-confiseur, pâtissier, glacier-confiseur.
Il est également utile d’obtenir un baccalauréat pro boulanger-pâtissier.
L’équivalent du bac + 2, pour cela est le BM ou Brevet de Maîtrise, le BTM ou Brevet technique des Métiers.

Que faut-il savoir sur ce métier ?

Vous vous demandez où le journaliste météo est allé pêcher toutes ses informations sur la pluie ou encore le beau temps. Il y a toute une équipe de météorologistes, d’ingénieurs et de techniciens qui effectuent une prévision météorologique pour les jours à venir. Il utilise des équipements sophistiqués comme les satellites pour relever les données atmosphériques et terrestres sur des écrans. Le météorologue travaille dans une station météo pour relever ces données et les analyser. Les informations sont ensuite diffusées au grand public. Le météorologiste travaille en grande partie en tant que fonctionnaire. Le métier est assez complexe puisque le professionnel doit enchaîner des horaires en continu et travailler en isolement pendant de longues périodes.

Les études pour devenir météorologiste

Les techniciens et les ingénieurs de météo suivent une formation à l’École nationale de la météorologie ou ENM. On y accède par concours. Pour devenir technicien, il faut faire deux années d’étude à l’ENM avec une spécialité exploitation, instruments et installation. Il est également possible d’accéder à ce poste avec un BTS, un DUT ou une licence pro dans le privé. Pour devenir ingénieur, il faut faire un concours TPE ou travaux publics de l’État après des classes prépa MP, PC ou PSI. Ensuite, vous effectuez trois années de formation à l’ENM. Enfin, il est possible de devenir météorologiste après des formations universitaires comme des masters et des doctorats en climatologie, étude de l’atmosphère et de l’océan.

Les formations dans les écoles de commerce

La première voie à suivre est les formations dans les écoles de commerce. Vous suivez d’abord une formation générale jusqu’à l’obtention de la licence. Puis, vous suivrez une formation spécialisée pour obtenir le master. Il y a la par exemple le master spécialisé entrepreneurs ou entreprendre dans les écoles de management. Le seul bémol avec les écoles de commerces est les frais de scolarité assez conséquent et les conditions d’admission encore difficiles.

Les formations dispensées à l’université

Plusieurs formations spécifiques sont également dispensées dans les universités. Les IAE ou instituts d’administration des entreprises propose divers masters spécialisés, aussi pointus que ceux proposés en école de commerce. Il y a le master entrepreneuriat et mangement de la PME, le master entrepreneuriat et management de projet ainsi que le master entrepreneuriat et management des petites et moyennes organisations. Les IUT ou instituts universitaires de technologie propose également des licences professionnelles en entrepreneuriat. Enfin, il est possible de suivre une formation d’un an après le bac au minimum pour obtenir le diplôme d’étudiant-entrepreneur. Vous étudiez tout en créant votre entreprise, accompagnés de professionnels dans le métier.

La formation continue

Si vous avez déjà arrêté vos études et êtes actuellement un salarié ou un demandeur d’emploi, vous pouvez suivre de nombreuses formations continues sur la création d’entreprise. Ces formatons sont proposées par divers organismes comme les chambres de commerce et d’industrie, les chambres de métiers et de l’artisanat, le conservatoire national des arts et métiers. Vous pouvez passer par une validation des acquis de l’expérience ou VAE pour accéder à ces formations si vous n’avez pas le niveau requis.

Comment préparer un bac pro ou un CAP en alternance ?

Le CAP est un diplôme obtenu 2 ans après le 3ème pour devenir un ouvrier ou un employé qualifié. Il compte 200 spécialités dans les métiers des services, de la production et de l’artisanat. Ils sont tous accessibles en alternance via un contrat d’apprentissage. Le CAP permet d’entrer directement dans la vie active. Le bac pro pour sa part est destiné d’un côté à l’insertion professionnelle et de l’autre côté à accéder à l’enseignement supérieur, souvent en vue de l’obtention d’un BTS.

Comment préparer un diplôme de l’enseignement supérieur en alternance ?

La formation en alternance touche également l’enseignement supérieur. Si vous avez choisi de travailler après le bac, sachez que vous pouvez continuer votre étude jusqu’à bac+5 en alternance. L’offre s’est beaucoup diversifiée de nos jours, si elle était réservée à certaines filières comme le commerce, la comptabilité et la gestion auparavant. D’abord, il y a le BTS ou le DUT ou bac+2 accessible via un contrat d’apprentissage. Ensuite, il y a la licence pro ou bac+3 qui dure 1 an après l’obtention du BTS. Elle vise l’insertion directe dans la vie active puisqu’elle permet de se spécialiser dans un domaine précis. Puis, il y a le master ou bac+5 qui se prépare 2 ans après la licence. Toutefois, la première année d’étude est obligatoirement en plein temps. Seule la deuxième année est proposée en alternance. Enfin, les écoles d’ingénieur et de commerce proposent également une formation en alternance en vue de l’obtention d’un bac+5.